En temps normal, je suis plutôt partisane du karma : imprévisible, surprenant, il met du piquant dans notre vie et empêche de planifier vraiment les choses. Mais il y a des fois où il décide de s’acharner sur un individu (ou deux en l’occurrence) et de leur faire passer une bonne journée de merde. Eh bien, c’est exactement ce qui nous est arrivé à Kampot et je dois dire que pour l’instant, je n’ai pas assez de recul pour en rigoler (quoi que, j’suis bon public).