Je dois reconnaître qu’en matière de cheveux, je ne suis pas le genre de fille à éclater mon budget mensuel chez le coiffeur. Bien qu’aimant beaucoup ça, je n’y vais que deux fois par an. Du coup, l’artiste capillaire qui s’occupe de ma tignasse n’a pas intérêt à se rater, au risque de devoir causer chez moi une dépression d’environ 6 mois.